Bienvenue ... dans la grande cave épeurante où il y a pleins de fantômes (ou le bazar à archives rendues pourries tellement ça fait longtemps qu'elles ont été écrites). Pas vraiment besoin de plus d'explications, nan ? Ou alors t'es trop nul mon grand, mais je t'aime pareil !
retour à flash station ; le blog.
un séjour que j'aurais prolongé de quelques siècles sans hésiter.
walt disney. je suis allée à walt disney. non mais vous vous rendez compte, walt disney, non mais ! trop la belle vie. j'peux vous dire que la neige du "beau" québec ne m'avait pas manqué. mes palmiers vont me manquer. et ma montre bleue que j'avais depuis quatre ans. je l'ai laissée dans une toilette comme une coooonne. et quand je suis revenue, elle était disparue, of course. shame on me, again. mais je ne vais pas me plaindre. j'ai passé les plus belles vacances que je n'avais jamais passées, auparavant. premier vol en avion, shows, manèges, rencontres et photos avec les personnages de disney. pas la belle vie, ça ? j'en ai profité pour de vrai. mais ... j'serais bien restée là plus longtemps. le dur retour à la réalité a été des plus difficiles, tellement que j'ai à peine dormi 2h, la nuit dernière. ça repart déjà, le train-train quotidien ? ben oui, calisse. fait chier. heureusement, pour la première fois depuis longtemps, j'ai eu un bon feeling. ne posez pas de questions. de toute façon je ne répondrais pas.
bref, je fais ça court, là je vais me coucher. j'sens que j'vais en avoir de besoin, moi.
things can change.
oui, mais pourquoi ? pourquoi pourquoi pourquoiiiii. pourquoi faut que ça change, hein ? ça vaut pas la peine, et c'est ridicule. alors là, je vais écrire un truc que j'avais envie de faire depuis longtemps :
OSTI DE ZEVA DE MAAAAAARDE. voilààà, défoulée ! hum non, pas du tout en fait, mais hors de question que je continue sur cette voie. m'en fous si vous comprenez rien, c'est tant mieux en fait, haha. bref.
comme le titre le dit si bien,
les choses peuvent changer. les
choix peuvent changer. en fait, pas mal tout dans ce monde peut changer. la mode, les goûts, les principes . . . mais s'il y a bien une chose qui ne change pas, c'est bien nous. je parle de toi, lecteur qui lit mon blog en ce moment-même, et de la fille qui joue au poker là-bas, et du fils du voisin de madame ste-patente qui habite la grande campagne, de moi. les gens ne changent pas, ils se développent. ils évoluent. on reste les mêmes, qu'on le veuille ou non.
pourquoi s'attarder sur le passé ?
tout simplement parce que le passé fait parfois, même très souvent, partie du grand casse-tête qui s'appelle
la vie. parce qu'il nous permet de comprendre certaines choses auxquelles nous n'avions pas nécessairement pensé, du temps où le passé était le présent. c'est comme lorsque vous relisez un livre une deuxième fois. des choses auxquelles vous n'aviez guère prêté attention vous sautent soudainement aux yeux, et vous vous sentez sots de ne pas y avoir vu la logique plus tôt. c'est pareil lorsque vos souvenirs vous reviennent. si l'énigme peut encore durer quelques décennies pour finalement d'éteindre au même moment que vous, elle peut aussi vous apparaître en face un jour comme un autre, sans s'annoncer. certains diront que rester fixé sur le passé, c'est refuser d'avancer. ils ont peut-être raison. après tout, le passé est le passé, et l'on ne peut rien y changer. aucun
« rewind » n'est à notre portée. le mal est fait, le bien est fait, maintenant il faut avancer. tourner la page. oui, mais parfois, c'est bien grâce au passé que l'on peut avancer. il nous faut parfois une leçon, un événement qui bouleversera à jamais notre vie, pour nous rendre à l'évidence. on réalise bien des choses grâce au passé. ne pas refaire les mêmes erreurs. ne pas oublier. revoir ses principes. avoir des souvenirs. des histoires à raconter, des moments qui nous font rire ou pleurer. n'est-ce pas un crime de laisser de côté tout cela de côté ? comme si ce n'était pas important ? comme si cela n'avait jamais existé ? même nos regrets, nos plus grands regrets, il faut nous en rappeler. pour la suite des choses. pour la suite de notre vie. si nous voulons faire des choix intelligents, c'est toujours utile de se fier à notre passé. il fait partie de nous.
on ne l'oublie pas.
je veux savoir.
vous vous demandez sûrement pas ce que je veux savoir. ou bien vous souhaitez le savoir.
ou bien vous le savez et vous ne voulez pas me le dire, comme flavie ! O: là là là, ça m'intrigue j'suis comme "c'est quoiiii l'affaire je veux savoir". j'ai aucune patience ! aucune. et j'suis extrèmement curieuse. elle fait exprèèèès. raaaaah lala. vous comprenez rien ? en fait, c'est simple. il va se passer quelque chose un jour, quelque chose que je ne sais pas et que je ne sais pas quand ça va arriver, flavie le sait et ne veut pas me le dire bouhouuu. ça m'intrigue. ça m'inquiète. je la truste pas du tout.
c'était mes pensées du moment. étranges ? i know, mais on parle de moi là, faut pas s'en surprendre. étrange un jour, étrange toujours. bref. je sais que je ne laisse pas énormément d'articles et de nouvelles ces temps-ci. mais pas parce qu'il ne se passe rien, au contraire. plus parce que je ne sais pas comment exprimer ce qui se passe. alors on va faire ça simple. tout d'abord ... ouaip. eh bien, comment dire cela sans la blesser ? impossible. alors j'suis désolée, val. pour tout ce qui s'est passé. tu ne méritais vraiment pas ça ... la vie nous réserve parfois de drôles de surprises ... mais surtout, dis-toi que t'as fais ce qu'il fallait. tu devais aller le voir, et tu y es allée. je t'entends déjà me demander "ouais, mais pour ce que ça a donné, ça en vallait vraiment la peine ?". la réponse est
j'en sais rien. on va bien finir par le savoir. un jour. ça, c'est clair. courage, ma petite pistache.
ensuite, potin-potin super cool : laurence et émile sont ensemble enfin, yeah ! il était plus que temps ! ils sont trooop cutes. moi j'dis qu'on crée un fanclub. :p
et un autre truc. une autre tentation de consolation, même si la personne à qui je m'adresse ne lira probablement jamais ce blog. do ... j'suis vraiment désolée. je ne peux pas comprendre ta peine, évidemment, puisque je n'ai jamais vécu de peine d'amour, mais je suis avec toi. on est tous avec toi. on va t'aider à surmonter cela, t'es pas toute seule, pinotte. on t'aime fort. <3
et voilà ! la tournée des potins est terminée. de mon côté, il se passe rien ... ou presque. mais j'ai pas envie d'en parler ici, à la portée de tous. ça, c'est une discussion entre conscience (avec laquelle je commence à bien m'entendre) et moi. chow chow les cocos à la prochaine !
ps : ma fête c'est dans 6 jours ! j'ai hâte au sweet sixteen powaaa !
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