Flash Station!
le répertoire des archives.
Bienvenue ... dans la grande cave épeurante où il y a pleins de fantômes (ou le bazar à archives rendues pourries tellement ça fait longtemps qu'elles ont été écrites). Pas vraiment besoin de plus d'explications, nan ? Ou alors t'es trop nul mon grand, mais je t'aime pareil !
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l'art de se tromper de chemin.

« ces temps-ci, j'ai l'impression de me reconnaître en toi. et j'ai peur. j'ai peur de te perdre, j'ai peur du « jusqu'où tu pourrais aller ». tout a un début, comme on dit, et j'ignore le jour où tout a commencé. j'ignore le jour où la petite goutte fera déborder le vase. mais j'ai peur de ce jour-là. je le sens qui approche, je le sens qui apporte son grand nuage noir au-dessus de ta tête. et le pire, dans tout cela, c'est que je ne peux rien faire pour toi, sinon t'écouter et te conseiller, en espérant que tu finisses par aller mieux. j'aimerais tant te consoler, mais je crois que les mots n'existent pas. ou du moins, ils ne sont pas à ma portée. et j'ai l'impression, aussi absurde soit-il, que tu n'en veux pas, de mon aide. pire encore, j'ai l'impression que tu t'éloignes volontairement de moi. peut-être suis-je parano, peut-être vois-je des problèmes où il y en a pas. je m'attends toujours au pire, redoutant chaque seconde les mauvaises surprises. je sais qu'il y a quelque chose. c'est inévitable.
tu me connais, je veux toujours régler les problèmes des autres avant les miens. je cherche les drames, car je ne peux vivre sans eux. et je m'attache à ces drames, comme s'ils faisaient partie de moi. mais il y a quelque chose qui s'est produit, quelque chose que je souhaitais mettre le plus loin possible de moi : je finis, chaque fois, par m'attacher aux personnes liées à ces drames. ainsi, je me suis attachée à toi. l'an dernier, c'est toi qui m'a aidée. chaque jour, j'attendais impatiemment la fin des classes avec la hâte de conserver avec toi. je ne t'avais jamais vue, et pourtant, une voix dans ma tête me répétait sans cesse que tu étais, parmi d'autres, ma dernière raison de vivre. je n'espérais plus, j'avais seulement hâte que cela finisse. mais au fil du temps, j'ai commencé à me dire que tout abandonner signifiait perdre ceux à qui je m'étais attachée, dont toi. et puis, finalement, l'été est arrivé, et je t'ai regardée partir vers ton chez toi. et je n'ai pas quitté, en partie car je voulais te revoir.
je me souviens comme si c'était hier de ce moment-ci. et je ne veux pas l'oublier, même si c'est douloureux. tout a bien fini, dans un sens. cette fois, j'ai peur pour toi. et je voudrais t'aider comme tu m'as aidée, mais c'est impossible. nos cas, malgré leur ressemblance, sont beaucoup trop différents. il faudra trouver un moyen. j'ignore le temps que cela prendra, mais tu y arriveras. only time will see. pour l'instant, tout ce que je peux te dire, c'est d'espérer le plus possible. ne lâche pas. »


non-believer.

SO. I'M TIRED. DO YOU UNDERSTAND ?
« she belongs somewhere else, away from my side so run with what you got, and chase with what you need i believe the faithful fell, didn't know their way back so far away from home, but brother we're not alone and i promise to climb back up here to you waiting for this message coming through.

is it mine ? is it mine ?
as she pulls inside
is it mine ? is it mine ?
how the lights turn white
do you take the non believers, cause i'm a non believer

she belongs somewhere else, where pain isn't hope and lives get every chance, not part of every plan i believe the faithful fell, didn't know their way back so far away from home, but brother we're not alone.

is it mine ? is it mine ?
as she pulls inside
is it mine? is it mine ?
how the lights go white. »


l'espoir au coeur d'une chanson.

si un jour vous êtes triste, si un jour vous êtes en colère, si un jour vous ne comprenez plus, ou si un jour, vous cherchez de l'espoir, tout simplement, alors regardez au coeur d'une chanson. cherchez l'espoir. il y a toujours une trace d'espoir, dans n'importe quelle chanson. il suffit de le chercher, et de le trouver, pour ensuite l'interpréter. certains vont me dire « dans les chansons tristes, l'espoir n'existe pas ». vous avez tord. ne cherchez pas avec votre tête, cherchez avec votre coeur. cherchez l'espoir qui pourrait un jour vous éclairer ou vous aider. au coeur même d'une chanson, il est possible de trouver cet espoir, plus que n'importe où ailleurs, peut-être. il existe toujours. il ne meurt pas. il suffit de le pêcher et de se l'approprier. peut-être vole-t-il en ce moment-même au dessus de votre tête, près à être attrapé. soyez forts, n'abandonnez pas. n'abandonnez pas la quête pour laquelle vous vivez. continuez à vous battre tous les jours, dans l'espoir que le bonheur parvienne à vous. le destin s'occupera du reste, mais il ne peut pas s'occuper de vous. lui seul connaît ce qui nous attend, mais il ne peut pas nous en parler. seul le temps nous le dira ...
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